et OUI !

nous partirons bien en Afrique du sud, dans quelques semaines, faire un coucou pour de vrai à Gwenaelle et sa famille, visiter de nouvelles contrées et retrouver celles que nous avions découvertes il y a 18 mois, reprendre une grosse cuillère de cette superbe lumière, de ces magnifiques paysages, de cet autre rythme de vie.

Cette fois Stéphane ne vient pas. Il travaille.
Nous partirons tous les trois et en plus de tout ce que j'ai écrit plus haut, je me projette ce voyage comme une opportunité de me confronter à certaines de mes peurs : peur de conduire à gauche volant à droite, peur de dormir dans des maisons inconnues sans homme pour me rassurer, peur dene pas garder l'équilibre relationnel acquis avec les enfants dans un lieu loin de la maison et sans leur papa pendant plus de trois semaines, peur d'avoir peur.
Et rien que de l'écrire, de le visualiser, d'y penser... ces peurs s'évanouissent. Et j'aurais la coécoute pour les décharger s'il en reste. Et j'ai l'intelligence et la puissance en moi pour réponde de façon tout à fait adaptée à l'environnement, meme à l'environnement inhabituel !

Cette perspective de voyage me met en joie. J'ai hate d'etre chez Gwen et de pouvoir échanger avec elle, de me promener là bas, de découvrir son (futur ex) pays de vie, d'observer les relations qui se tissent entre Leila, Nino e Elià.  Je me réjouis de partir avec les enfants, de partager avec eux cette nouvelle expérience, de grandir ensemble.